Photographe

Andrew Testa

En plus de trente ans de carrière, Andrew Testa a beaucoup photographié le Royaume-Uni – où il réside –, mais aussi les Balkans et le Moyen-Orient. Il a documenté les conflits ainsi que des sujets liés aux droits humains et à l’environnement. Son travail, reconnu par Amnesty International, a été récompensé par un prix World Press, ainsi qu’un Picture of the Year. Il est représenté par Panos Pictures.

    Portrait Andrew Testa
    Les supporteurs donnent de la voix, devant un portrait de John Fitzgerald Kennedy. C’est aux États-Unis que le noble art s’est taillé une place parmi les élites. « En 1988, un avocat et un universitaire se sont affrontés sur le ring de la mythique salle de boxe Gleason’s Gym à Brooklyn, lieu jusqu’alors réservé aux classes populaires. Ce genre d’événements a été importé à Londres au début des années 2000 et, depuis, il n’a cessé d’y croître en popularité », relate Andrew Testa. Des entreprises spécialisées ont vu le jour – comme White Collar Boxing London en 2009, qui se revendique « la plus grosse du marché » et affiche plus de 3000 combats au compteur. « La boxe en col blanc est devenu un phénomène parmi les cadres d’autres grandes places financières, comme Hong Kong ou Shanghai. »
    Juillet 2024
    Boxe and the City
    À Londres, les jeunes cadres dynamiques en manque de défi s’affrontent sur les rings, sous le regard du photographe Andrew Testa.
    Récit photo  |  Juillet 2024 | Pouvoirs