Branle-bas de combat pour une cité ouvrière à Roubaix

Écrit par Ramsès Kefi Illustré par Jérôme Meyer-Bisch
Édition de mars 2024
Branle-bas de combat pour une cité ouvrière à Roubaix
L’Alma est un quartier du nord de Roubaix à l’allure unique, tout en coursives et briques, miné par le deal et des décennies de manque d’entretien. Le plan de rénovation en cours, qui prévoit la suppression de 400 logements, a suscité l’ire d’un collectif de citoyens, attachés aux luttes qu’ont portées ces bâtiments. Une histoire sans cesse réinventée.
Article à retrouver dans la revue XXI n°64, Arnaques, crimes et vies de château
15 minutes de lecture

Cette nuit-là, Florian Vertriest monte des marches et dévale les longues coursives qui relient les appartements entre eux. L’immeuble est tassé. Quatre étages, des ascenseurs et des allures de fort. La lumière ne fonctionne pas et l’odeur est neutre : c’est celle du vide qui prend ses aises. Des logements sont déserts. Des dizaines de gens sont partis ailleurs, provisoirement ou pour de bon. Parfois, ce grand gars à la barbe lisse et aux épaules épaisses s’arrête. Pose ses mains sur un rebord de pierre, comme un matelot sur son navire. Et fait de l’histoire. Des dates, des noms, des époques d’abondance et de vaches maigres, comme s’il les avait toutes explorées.

Florian Vertriest n’a que 30 ans. Avec sa mère, il a passé une partie de son enfance ici, à l’Alma, dans le nord de Roubaix, où il vit encore. À la lumière d’un téléphone, il ressuscite les scènes. « Il y a quelques années, les gens faisaient des barbecues là, pendant que des gamins jouaient au basket ici. » Les défenseurs du grand lifting du quartier, eux, envoient balader la nostalgie et remettent le récit au présent : aujourd’hui, dans les coursives, ça deale et ça joue à cache-cache avec la police. Quatre blocs entièrement vides sont censés tomber les premiers, en attendant d’autres. À moins que des opposants parviennent à renverser la table. Florian Vertriest est l’un d’eux. En juin 2022, il a fondé, dans l’anonymat le plus total, un collectif, Non à la démolition dans le quartier de l’Alma-Gare. Un an et demi plus tard, cet entraîneur de foot, qui a longtemps gardé sa capuche pour les photos, est devenu le visage du chantier de rénovation urbaine le plus médiatique de France.

Roubaix - Illustration Jérôme Meyer-Bisch

Chauffages en panne et moisissures

Roubaix, 100 000 habitants, traîne son boulet : les statistiques la classent depuis des décennies parmi les endroits les plus pauvres du pays. L’Alma, à quinze minutes du centre et encore plus démunie que la moyenne de la ville, possède sa marque de fabrique : des immeubles en brique rouge, à l’architecture si complexe qu’il est difficile de les dénombrer avec précision. La moitié de ses 3 600 habitants, recensés avant les vagues de relogements, ont moins de 30 ans.

Des pans entiers de cette cité ouvrière, née au mitan du XIXe siècle, souffrent le martyre et auraient pu, depuis vingt ans, alimenter une chronique quotidienne de l’indécence – chauffages en panne, moisissures, eau chaude coupée, rats, humidité, fuites. Le plan de rénovation, validé en décembre 2018, prévoit, entre autres, des immeubles flambant neufs, une école plus grande, une salle de sport. Une nouvelle page, en somme : sur les 1 300 appartements actuels, 486 sont voués à la destruction (des logements sociaux en majorité), 390 à la réhabilitation, et seuls 90 seront construits. Autrement dit, le nombre total d’habitations sera réduit. 

Les émeutes de juin, qui ont touché tout le pays, ont secoué l’Alma aussi : une entreprise de 500 employés a cramé. Un traumatisme.

La tension, inhérente à l’Alma, est dopée par la perspective de cette transformation profonde. Les incidents à répétition sur le chantier ont d’ailleurs obligé la mairie, les bailleurs et la préfecture à le sécuriser comme une zone de conflit, avec les retards que cela engendre – notamment en érigeant autour un mur de béton, long d’une centaine de mètres et haut de près de trois mètres. À l’automne 2023, des drones de la police nationale ont survolé le secteur. En quelques mois, une pelleteuse a brûlé et des jeunes ont menacé les agents de sécurité dépêchés sur place qui, épuisés, ont jeté l’éponge. Des cars de CRS ont tourné.

Les émeutes de juin, qui ont touché tout le pays, ont secoué l’Alma aussi : une entreprise de 500 employés a cramé – un traumatisme. Des habitants toisent le mur, de retour des courses ou perchés sur leur balcon. Une mère de famille aux grands yeux noirs baisse la tête : « Dès qu’on nous demande d’ouvrir la bouche, c’est pour raconter nos misères. On n’a rien à se reprocher, mais on a honte à la fin. L’Alma, c’est compliqué. Un jour, je déteste ce quartier et le lendemain, j’en suis folle amoureuse. On est fatigués. » Lille Métropole Habitat, l’un des bailleurs, refuse de donner une date précise de démolition, « pour des raisons de sécurité »

Roubaix - Illustration Jérôme Meyer-Bisch

Montée au front

À la première mobilisation, Florian Vertriest se souvient de sa solitude. « On était deux : mon pote Manu et moi. » C’était le lendemain de la création du collectif. Sans slogan ni stratégie, le binôme protestait contre le manque de concertation et de clarté. « C’est vrai, je l’admets, c’était un peu tard. » Schéma classique : les réunions d’information se sont déroulées entre initiés, dont certaines en visio pendant le Covid. Jusqu’à ce que des permis de démolir placardés aux murs réveillent tout le monde. Des locataires jurent sur l’honneur qu’ils n’avaient pas toutes les informations. De temps à autre, ils parlent de boîtes aux lettres qui ferment à peine pour raconter leur rapport aux courriers, et par ricochet, aux institutions. La mairie estime avoir joué dans les règles, documents à l’appui. Éric Mouveaux, encarté communiste et membre du collectif, rit après un long soupir : « Vous pensez vraiment que des gens, en pleine pandémie et avec la pauvreté que l’on connaît ici, vont se connecter sur Zoom pour parler de plans architecturaux ? » 

Florian Vertriest a vite appris. En un an et demi de militantisme, il a acquis des réflexes de pro. Bonnet sur la tête, l’autodidacte distille du « off », montre la carte de visite d’une députée et téléphone à un autre au sujet d’un projet de loi de rénovation urbaine. Quand la pelleteuse a cramé, il a réuni une trentaine de jeunes gens de l’Alma pour déblayer, nettoyer et tuer le soupçon dans l’œuf : son collectif n’y est pour rien. Des bouquins d’urbanisme et des rapports sur l’environnement, dont il cite des passages, sont devenus ses bibles. « Quand tu parles avec des politiciens, il faut être concret. Tu ne peux pas juste dire, “non, je suis contre”. Il faut des chiffres. C’est là que tu te rends compte qu’ils ne maîtrisent pas forcément leurs dossiers. »

Ce Ch’ti en longue parka de coach aimante les louanges, la curiosité et les critiques. « On pense que je suis un opposant politique. » 

Le projet pèse plus de 130 millions d’euros. Et un petit gars comme lui, sans code aucun au départ, finit par être invité à l’Assemblée nationale pour prêcher la cause du quartier. Même s’il s’en défend, l’ironie de la situation l’amuse. Les événements qu’il organise – un goûter, des ateliers de réflexion sur le futur du quartier, une rencontre avec des urbanistes – peuvent rassembler jusqu’à deux cents personnes, dont des jeunes, si difficiles à capter. Deux cents, dans des zones populaires qui s’engagent peu, c’est un trésor. Alors, ce Ch’ti en longue parka de coach aimante les louanges, la curiosité et les critiques. « On pense que je suis un opposant politique. » 

Le collectif est constitué d’un noyau dur d’une demi-douzaine de têtes. Sur Facebook, celui-ci clame autant son amour de l’Alma que le droit à une seconde chance pour le quartier. D’accord pour démolir ce qui est hors d’âge, mais pourquoi casser ce qui tient encore debout et fonde une identité forte, comme ces bâtiments uniques dotés de coursives immenses ? Et puis, est-ce que détruire des immeubles fera disparaître la misère et le trafic qui s’y nichent ?

Leur mantra ne varie pas : les blocs sont innocents, c’est tout le reste qui a vrillé. L’éducation, la santé, la sécurité. Florian Vertriest, marié et père de trois enfants, a rallié des universitaires et des architectes à sa cause. Ensemble, ils ont cosigné une tribune dans Le Monde parue en octobre 2023. Ils y posent des solutions pour le quartier et déplorent des destructions contre-productives socialement et écologiquement : « En moyenne, la démolition produit cinq fois plus de gaz à effet de serre et consomme soixante-dix fois plus de matière qu’une réhabilitation. » Marcellino Saab, dont le cabinet d’architectes Ausia a conçu une partie de l’Alma, a déposé un recours à la mairie de Roubaix en mars 2023. Il invoquait son droit moral sur l’œuvre pour contester les démolitions. En vain. 

Roubaix - Illustration Jérôme Meyer-Bisch

« Pour la mémoire de nos grands-parents »

Guillaume Delbar, maire de Roubaix et enfant de la ville, y voit un fantasme : ces intellectuels-là ne vivent pas dans le quartier, plutôt dans des bouquins et par conséquent, ne peuvent comprendre. « Entre les bâtiments et la vie des gens, j’ai choisi la vie des gens. » Le maire veut aller au bout du chantier, changer la réputation de l’Alma et oublier Florian Vertriest : « C’est une seule personne, certes hypermédiatisée, mais sans aucune légitimité. » L’entraîneur, lui, persiste dans sa quête : rediscuter le projet de rénovation avec tous les acteurs tant que les pelleteuses ne sont pas passées. Après tout, dans les années 1970, c’est ce qui s’est produit. Menacé, l’Alma a été réhabilité en tenant compte des souhaits de ses habitants. Le Ch’ti, dont l’immeuble n’est pas concerné par les grands travaux, se revendique de cet héritage : « On se bat aussi pour la mémoire de nos grands-parents et de leurs combats. Si ce qu’ils ont construit est rasé par des pelleteuses, c’est toute une histoire qui va disparaître. » 

En 1973, l’Alma-Gare a été déclaré insalubre par les pouvoirs publics. Les courées, avec leurs ensembles de maisons modestes en briques typiques du Nord, flirtaient avec l’indignité humaine. Y cohabitaient familles ch’ties, jeunes couples, et immigrés du Maghreb – des hommes seuls, souvent. Leur destin était limpide : comme d’autres avant, ils iraient remplir des tours HLM plus confortables et modernes. Or, ces Roubaisiens ont refusé. Où finiraient les anciens ? Qui s’en occuperait ? Les récits d’époque, immortalisés dans des livres, racontent un fief de solidarité. 

Christian Carlier, 73 ans aujourd’hui, en était. « On digérait Mai 68 et on préparait 1981 » – l’arrivée de François Mitterrand au pouvoir. L’Alma devient une cause pour tous ceux qui rêvent d’alternatives, de participation citoyenne et d’autogestion. « Des connexions se font » entre des militants maoïstes, des catholiques, jusqu’à la gauche radicale, en passant par des enseignants. Un atelier populaire d’urbanisme éclot, où des intellectuels tentent de rallier des ouvriers pour réfléchir à la cité idéale, au-delà même du bâti. 

Au tout début des années 1980, l’Alma entre dans la légende des grandes batailles populaires françaises. 

À la fin de la décennie, les politiques locaux finissent par plier et associent les habitants à la rénovation. Le nouvel Alma qui sort de terre est une pépite unique en France – inspirée par ce qui s’est fait à Wolluwe-Saint-Pierre, en Belgique voisine. Des locataires ont une parcelle de jardin et des fenêtres dans leurs salles de bains. Les immenses coursives en zigzag, où tout le monde se croise, sont pensées pour renforcer les liens. Au cœur des petits blocs sont créés un restaurant collectif, des associations, un foyer pour les personnes âgées, une imprimerie, une école ouverte sur une jolie place et un centre social encore debout aujourd’hui. On est au tout début des années 1980. L’Alma entre dans la légende des grandes batailles populaires françaises. 

Sans l’égratigner, Christian Carlier, désormais conseiller municipal (EELV), invite à la prudence avec « le mythe de l’Alma », revenu en force avec la surmédiatisation du chantier actuel. Certes, la victoire fut magnifique après une décennie de réflexions et de rapports de force avec les politiques locaux. Certes, un réseau de solidarité inédit a permis, pendant quelques années, de créer une communauté solide dans ce coin de Roubaix. Mais le septuagénaire assure que le contexte était radicalement différent : « Nous n’avons pas proposé de contre-projet précis dans les années 1970 contrairement à ce qu’on entend ici et là… parce qu’il n’y avait pas de réel projet en face de nous. Les pouvoirs publics de l’époque ne savaient pas trop où ils allaient. Ils se cherchaient. Les architectes qui sont venus ici étaient payés par le ministère de l’Équipement, qui avait aussi besoin d’idées. » Il étaie : « Dans le récit de cette lutte, on s’arrête souvent à 1982. Mais personne ne documente vraiment la suite. Ou beaucoup y mettent ce qu’ils veulent. »

Julien Talpin s’est plongé dans cette histoire. Le sociologue, coauteur d’un livre sur le quartier avec sa consœur Paula Cossart, évoque un alignement très éphémère des planètes : « La gauche, qui reprend la ville à la droite en 1977, était sensible à ces modes de réflexion et d’autogestion. » Mais en 1983, la droite récupère la mairie et serre la vis : plus question de soutenir l’Alma. En parallèle, le chômage explose dans cette partie du Nord, où les usines de textile ferment en série. Les financements des pouvoirs publics se tarissent pour ces projets associatifs et participatifs – même les utopies ont besoin d’argent. Les militants les plus investis, bien qu’ils aient continué à croire au rêve, ont des désaccords. Les appartements sont, petit à petit, loués à des familles nombreuses et pauvres bénéficiant des APL – une garantie de paiement pour les bailleurs en période de crise. Les articles de l’époque rapportent qu’une partie de la zone craignait déjà au milieu des années 1980 – cambriolages, drogue, prostitution. 

Roubaix - Illustration Jérôme Meyer-Bisch

La possibilité d’une étincelle

Christian Carlier y habite encore. Le plan de rénovation en cours lui inspire des tripotées de désaccords, de bémols et d’inquiétudes, notamment concernant les relogements : « Où vont aller les gens qui vivent toujours dans les immeubles à démolir ? Et dans quelles conditions ? Dans ces périodes de bouleversement, la précarité s’aggrave de fait puisque les plus pauvres doivent composer avec l’incertitude. » La métropole lilloise, qui englobe Roubaix, souffre d’un déficit de logements sociaux. Comme d’autres anciens de la lutte, l’écologiste reste à distance de Florian Vertriest. Les deux hommes reconnaissent des divergences de point de vue, sans s’accabler. Sur le terrain, c’est aussi un sac de nœuds : toutes les associations de l’Alma ne sont pas raccord sur la façon de s’opposer aux destructions. Ou à la mairie. 

David Guiraud prévient : « Ça peut péter à l’Alma » – façon de dire que cette rénovation urbaine contestée peut être l’étincelle d’une explosion sociale. Le jeune député – il a 31 ans – doit son élection à un coup d’éclat. En janvier 2022, M6 diffuse un reportage sur la ville, la montrant comme une place forte de l’extrémisme religieux. Ce que des locaux ont interprété comme une insulte. David Guiraud, originaire de Seine-Saint-Denis, part à la bagarre dans les médias pour redorer le blason de la ville. Et rafle la circo. Illico, Florian Vertriest l’approche. « On ne le prenait pas au sérieux, on lui riait au nez, se souvient le député. Mais moi je l’ai cru quand il m’a dit qu’il aimait l’Alma. » 

Avec ses murs tapissés de permis de démolir, le quartier est désormais un bout de ville en apnée. Des paraboles restent suspendues à des immeubles aux fenêtres murées. Et Florian Vertriest continue de faire visiter les lieux à des journalistes, des militants d’autres villes ou des universitaires. Comme un guide de musée, il se répète, à la virgule près. Guillaume Delbar a fini l’année en accordant une longue interview à nos confrères de La Voix du Nord où il martèle un chiffre : quatorze familles seulement ont placé l’Alma en premier choix de relogement après les grands travaux. Dans cet entretien, il égratigne Florian Vertriest, pointant encore et toujours un garçon sans réel poids sur le terrain. L’entraîneur lui a répondu à sa manière, investissant quelques jours plus tard le conseil municipal avec des habitants de l’Alma. Comme les anciens à leur époque.

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