Retaper une guimbarde à bout de souffle, abaisser ses suspensions, la customiser à l’extrême et, enfin, parader au volant : le « lowriding », né dans la communauté mexicano-américaine, est un hobby coûteux. C’est aussi un moyen d’expression et d’émancipation. Le photographe suisse Mario Heller est allé à la rencontre de Californiennes adeptes de cet art de vivre, longtemps réservé aux hommes.
Le « lowriding » se conjugue aussi au féminin
Retaper une guimbarde à bout de souffle, abaisser ses suspensions, la customiser à l’extrême et, enfin, parader au volant : le « lowriding », né dans la communauté mexicano-américaine, est un hobby coûteux. C’est aussi un moyen d’expression et d’émancipation. Le photographe suisse Mario Heller est allé à la rencontre de Californiennes adeptes de cet art de vivre, longtemps réservé aux hommes.