Journaliste
Pascale Hugues
J’aime les histoires de voisinage. J’habite à dix minutes à vélo de la femme la plus puissante du monde. Moi dans une rue tranquille dont j’ai fait le portrait dans La Robe de Hannah (Éd. Les Arènes), Angela Merkel dans une chancellerie trop grande pour elle. Arrivée à Berlin juste avant la chute du mur, j’entendais dire que l’Allemagne était un pays où il ne se passait jamais rien. Comme Berlin ressemble à Strasbourg, ma ville natale, je m’y suis tout de suite sentie dans mes murs. J’y suis restée, sans jamais m’ennuyer.
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