La justice européenne condamne lourdement des exilés considérés à tort comme des passeurs. À leurs côtés, des avocats d’Espagne, de Grèce et d’Angleterre.
Après la dictature, les souvenirs se libèrent. Et les Syriens racontent la prison, la torture, le deuil, pour tenter de guérir des plaies encore ouvertes.
La clôture géante érigée contre les migrants est en réalité disjointe de toutes parts. Daniel Ochoa de Olza donne à voir cette incohérence architecturale.
Au premier soir du ramadan, une table est dressée parmi les gravats de la ville de Rafah. La photographe Doaa Albaz tire de cette scène un cliché poignant.